Ce weekend, escale à
Fraser Island pour une journée en tour organisé non
prévue
au programme. L’occasion s’étant présentée, nous avons tous les trois
sautés
dans un énorme bus 4x4 direction Rainbow Beach par la plage avant d’embarquer
sur le ferry reliant Fraser au continent.
A peine débarqués nous voyons un
dingo sauvage se promener sur la plage. L’île en contient énormément et
ils peuvent s’avérer relativement agressifs. Il n’est pas rare d’entendre aux
infos qu’une attaque de dingo s’est produite sur l’île, principalement envers des
backpackers (éméchés) qui ne respectent pas les mesures de sécurité propres à
ce genre d’endroits.
Ensuite c’est un panneau de
limitation de vitesse qui a attisé notre
curiosité. Et oui la plage est considérée comme une route nationale limitée la
plupart du temps à 80 km/h mais qui possède aussi des zones à 50 km/h en
raison notamment d’un camping long d’une vingtaine de kilomètres ! Après
observations, nous nous sommes rendus compte que les voitures roulaient toutes
en bordure du rivage, là où le sable est le plus compacte afin d’éviter l’enlisement.
Les rares voitures qui s’y sont essayées en ont fait l’amère expérience !
Deux heures de route plus tard,
nous voila enfin arrivés au Lake McKenzie pour une heure de détente dans ce cadre
somptueux. La légende raconte qu’un bain de 10 minutes dans cette eau pure
permet de rajeunir de 10 ans ! Après un barbecue made in australia avec steak,
saucisse et bière locale la balade digestive dans la forêt humide nous a fait le plus
grand bien avant de reprendre la route en direction de Rainbow Beach.
Rainbow Beach est une toute
petite ville au bord de l’océan surtout réputée pour être la porte d’entrée de
Fraser Island. Malgré cela, nous avons pu profiter de l’immense dune de sable
de Carlo Sandblow pour s’essayer au sandboarding (équivalent du snowboard sur
le sable). Et bien c’était très amusant mais aussi un peu fatiguant car il fallait
remonter la dune à pied après chaque descente, les remontées mécaniques étant
inexistantes ! Afin de remédier à cela, rien de tel qu’une petite pause
sur la plage où Gaëtan avait encore suffisamment d’énergie pour faire du
skimboard !
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